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​Les années ont encore passé, puis le premier voyage en Namibie, au Botswana, et encore en Namibie. Suivront la Tanzanie et le Kenya. Là, la piqûre est devenue récurrente. L'Afrique australe m'a transmis la fièvre de la savane. Cela fait maintenant plus de dix ans que je parcours les parcs du Kenya, le Maasai Mara et Amboseli. Pour moi, ils représentent ce qu'il y a de mieux pour un premier voyage dans ce pays. Il m'a fallu beaucoup de temps pour trouver l'un des meilleurs guides du Maasai Mara. Antony est une perle rare dans ce domaine, et mon travail photographique à rapidement évolué grâce à lui.

Comme on dit au Maasai Mara :

"Pas de bon guide, pas de photos".

Les années ont encore passé, et aujourd'hui, avec deux partenaires, nous avons investi dans ce petit camp pour le rénover entièrement, le restaurer et lui donner beaucoup d'amour. Nous en avons fait un havre de paix où de nombreux photographes amateurs, experts ou professionnels trouveront enfin les éléments qui leur manquaient ailleurs : prix attractifs, rangements, prises électriques, wifi dans les tentes, véhicules étudiés, et des guides extraordinaires. Cela fera de votre séjour au Mara une réussite totale. Ma passion reste immuable et l'envie de partager et d'optimiser votre séjour sur place m'a poussé à m'investir pleinement dans ce projet, afin que vous puissiez profiter au maximum de votre séjour pour qu'il devienne mémorable. Bienvenue au Mara Major Camp.

J'ai pris mes premières photos à l'âge de 17 ans. C'était avec un vieux FOCA SPORT (argentique, bien évidemment.) C'était celui de mon père, et tous les deux avaient fait la guerre d'Algérie.

Mon grand-père travaillait pour un grand journal de l'ouest de la France, "La Nouvelle République", en tant qu'ancien photographe puis reporter. Il finira par devenir grand directeur. Est-ce pour cela que je suis devenu passionné de photographie ? Peut-être !

Les années ont passé, l'argentique a laissé place au numérique sur appareil mécanique, qui à son tour a cédé la place au numérique sans miroir. L'intelligence artificielle vient maintenant compléter cette évolution, à la fois rapide et lente. Il ne faut pas fuir le progrès. Nous n'avons aucune compétence pour le faire, surtout lorsque l'on voit dans quel monde nous vivons. Il faut s'adapter.

Ce n'a pas été trop difficile pour moi. J'ai fait une pause conséquente dans la photographie juste après la naissance de mes deux enfants, laissant d'autres passions m'envahir. Doucement, dans les années 2000, l'envie est revenue avec le numérique.

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